ANI - Le ministre sortant des Travaux publics et des Transports, Ali Hamié, a tenu lundi une réunion dans son bureau ministériel, axée sur la sécurité alimentaire et l'accélération du dédouanement du fret.

Après la réunion, Hamié a déclaré : « La réunion d'aujourd'hui a été convoquée sur recommandation du Premier ministre Najib Mikati pour toutes les parties prenantes impliquées dans les installations aériennes et maritimes, y compris l'aéroport international Rafic Hariri, les ports de Beyrouth et de Tripoli, et tous les autres. Étaient présents des représentants du Conseil supérieur des douanes, de la Direction générale des douanes et des principales parties prenantes du secteur privé, notamment les importateurs de produits alimentaires, les courtiers en douane, les agents maritimes et les intermédiaires de transport, pour accélérer le dédouanement des marchandises, en particulier celles essentielles à la vie quotidienne, et pour favoriser la coopération avec les agences opérant dans toutes les installations maritimes et aériennes libanaises».

Hamié a également noté que les discussions ont porté sur divers sujets, conduisant à des accords partagés grâce à des efforts de collaboration entre toutes les parties des secteurs public et privé.

« Les résultats seront communiqués aux ministres concernés concernant les installations terrestres, maritimes et aériennes. La deuxième partie de la discussion est prévue demain lors de la réunion du Cabinet pour prendre les décisions appropriées, avec pour objectif principal d'accélérer le dédouanement des marchandises de toutes les installations aériennes et maritimes fonctionnelles à travers le Liban », a déclaré Hamié.

Le ministre a ensuite réitéré sa coopération avec les acteurs des secteurs public et privé, se disant prêt à faciliter les opérations dans les ports maritimes, soulignant que la réunion d'aujourd'hui était technique, impliquant toutes les parties prenantes du transport terrestre, aérien et maritime.

Concernant la suspension de certaines compagnies aériennes de vols vers le Liban, Hamié a précisé : « Les compagnies aériennes elles-mêmes ont suspendu leurs vols en envoyant des lettres à la Direction générale de l'aviation civile, et non par une décision du gouvernement libanais ».

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